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Dimanche 3 août 7 03 /08 /Août 00:50

Elliot

            J’ai essayé d’oublier ce groupe, leur musique, leur apparence envoûtante. Toute la nuit, j’ai essayé, en vain. Je me suis endormi après avoir tourné plusieurs heures dans mon lit et je me suis réveillé le lendemain matin le corps en sueur, sous l’emprise d’une excitation inattendue. Je me suis déjà soulagé, la veille, avant de me coucher, mais apparemment, ça n’a pas suffi. Il faut que je recommence. Je sors difficilement de mon lit, l’esprit encore embrumé. Vêtu d’un simple caleçon servant de pyjama, j’enfile mes pantoufles et je traîne des pieds jusqu’à la salle de bains. Je m’y enferme, pour éviter que ma mère me surprenne en pleine action, puis je me déshabille, et j’entre dans la douche.

            J’ouvre le robinet, et je laisse l’eau tiède se déverser sur mon corps en ébullition. Je baisse le température, mais cela n’a aucun effet, alors j’utilise une solution plus radicale. Je pose mes mains sur mes hanches et je les fais lentement glisser sur ma peau, jusqu’à mon ventre. La tête appuyée contre la paroi carrelée et froide de la douche, j’entreprends des mouvements de va et vient qui me transportent rapidement dans les limbes du plaisir. Je sens ma verge palpiter sous mes doigts. La jouissance n’est plus très loin. Je continue à me masturber, ne voulant pas m’arrêter avant la fin, et je ne lâche mon sexe qu’une fois que je me suis déversé dans ma main. Je la passe sous l’eau pour faire tomber ma semence, et je me lave enfin, pendant plusieurs minutes.

Libéré, mais ne comprenant toujours pas ce qui m’arrive, j’exécute ensuite mes gestes habituels en période scolaire. Je m’habille, je déjeune en compagnie de ma mère, je passe à nouveau par la salle de bains pour me brosser les dents, puis je récupère mes affaires de classe, et je sors de chez moi, après avoir fait une bise à ma mère.

            Aujourd’hui, je n’ai cours que de neuf heures à midi, alors ma journée, ou plutôt ma matinée, sera vite terminée. Je parcours gaiement les quelques centaines de mètres qui me séparent de l’université, puis je marche jusqu’à l’amphithéâtre où a lieu mon cours de phonétique. Quelques étudiants sont déjà présents, mais je préfère m’isoler. J’en connais quelques-uns, mais nous n’avons pas de réelles affinités. Le professeur arrive quelques minutes plus tard, et il commence à débiter des phrases plus complexes les unes que les autres. C’est le début de l’année, alors il y a encore du monde, mais dans peu de temps, les places vides seront plus nombreuses que celles occupées, car la phonétique n’est pas une matière qui attire les foules. Le cours ne dure qu’une heure, mais il est très ennuyant, surtout lorsqu’on a déjà eu du mal en première année, ce qui est mon cas.

            Malgré tout, je ne m’en vais pas avant la fin, et je note tout ce que j’arrive à comprendre. Les soixante minutes défilent lentement, mais quand arrive la fin, je m’empresse de ranger mes affaires et d’aller à mon cours suivant. Les deux heures qu’il me reste sont plutôt calmes, et quand elles sont passées, je rentre chez moi, deux écouteurs coincés dans les oreilles.

            Quand j’arrive à la maison, ma mère est là. Elle tient à manger avec moi le midi, aussi souvent qu’elle le peut, et je ne m’en plains pas. Ca me fait plaisir, et ca m’évite aussi de faire la cuisine. Tout est déjà prêt et la table est mise. Je n’ai plus qu’à m’asseoir et déguster ce qu’elle a préparé. Une fois le repas terminé, je commence à me lever.

-         Attends, reste assis, me dit ma mère.

Je suis étonné, mais je lui obéis. Elle quitte la chaise sur laquelle elle est assise et elle part dans sa chambre. Elle en revient avec un sac en papier blanc opaque dans les mains, alors je ne peux rien voir de ce qu’il y a à l’intérieur. Elle me le tend, et je l’attrape, tout en levant un sourcil. Je me demande bien ce que ça peut être. Je fouille à l’intérieur, et j’en sors un disque. C’est un album. Il s’intitule «Première», et il n’est ni plus ni moins que celui des Lost Justice, sur lesquels je fais une étonnante obsession depuis la veille.

            Je tente de dissimuler la joie, à priori inappropriée, qui me submerge, et je laisse simplement un sourire étirer mes lèvres. J’abandonne mon siège et j’embrasse ma mère pour la remercier, puis je file dans ma chambre pour insérer le disque dans ma chaîne et l’écouter en boucle toute la journée. Je ne m’attendais vraiment pas à ce cadeau. Ma mère me connaît vraiment bien. Après tout, elle a du remarqué ma réaction la veille, si ce n’est celle physique, au moins celle psychologique.

            Un casque sur les oreilles, je n’entends pas la sonnette de l’entrée retentir, ni quelques coups frapper à la porte de ma chambre. Je ne suis perturbé que lorsqu’en quelqu’un s’introduit dans la pièce. Interloqué, je coupe la musique, et j’enlève mon casque. Une jeune femme bronzée avec de longs cheveux bruns ondulés se dirige vers moi, un sourire aux lèvres. Elle dépose un baiser sur mes lèvres, avant de s’asseoir à mes côtés, sur mon lit. Je peux sentir son parfum à l’odeur si particulière, parfumé à la menthe, qui m’a fait craquer après trois rendez-vous manqués. Elle s’appelle Violette, et nous nous sommes rencontrés au lycée. Depuis deux ans, nous sortons ensemble, et aucune ombre ne vient ternir notre relation. Elle est étudiante en deuxième année, comme moi, mais à la faculté de droit, alors on ne se voit que chez l’un ou l’autre, surtout le mercredi, car nous avons tous les deux l’après-midi de libre.

-         Qu’est-ce que tu écoutais ? Me demande-t-elle.

-         Lost Justice, tu connais ?

-         Un peu, j’ai entendu une chanson à la radio je crois, c’était pas trop mal. Tu peux continuer, ça ma dérange pas.

Sans me faire prier, je remets le disque en marche.

-         Ils sont en tournée en ce moment, non ? Continue-t-elle.

-         Oui, je crois, ils sont passés à la télé hier soir.

-         Tu veux pas aller les voir ?

-         J’y ai pas vraiment pensé.

-         Cherche sur Internet si ils passent ici, ça serait bête que tu les manques.

Je remercie ma petite amie de m’avoir donné une si bonne idée, tout en me sentant stupide de ne pas l’avoir eu moi-même. J’allume mon ordinateur et je parcours plusieurs sites avant d’en trouver un avec toutes les dates de la tournée. Le groupe passe à Montpellier dans deux semaines exactement. Je griffone la date sur un papier, et Violette me regarde faire, amusée de me voir aimer autant des artistes.

-         Tu veux qu’on aille acheter les billets maintenant ? Lance-t-elle.

Les billets… Ce n’était pas ce que j’avais à l’esprit.

-         Ecoute, Vivi, tu vas sûrement trouver ça bizarre, mais je préfèrerais y aller seul.

J’en étais sûr. Elle me dévisage, les yeux exorbités, elle ne comprend pas. L’utilisation de son surnom ne la gêne pas. Je dirais même que ça l’arrange. C’est elle qui l’a choisi, car elle n’aime pas son prénom, et elle oblige tout le monde à l’appeler comme ça. Se rendre en solitaire à un concert est un concept qui en étonne certains, et elle en fait partie. Du moins, c’est ce qu’elle tente de me faire croire. A mon avis, elle est plutôt vexée parce que je n’ai pas accepté qu’elle m’accompagne.

            Après avoir échangé plusieurs explications, nous nous sommes mis d’accord, et elle a retrouvé sa bonne humeur. Elle est restée quelques heures de plus à la maison, puis elle est partie. Il n’y a alors personne d’autre pour me tenir compagnie, car ma mère est partie travailler. Elle avait des choses à régler à son cabinet. Je lui laisse un mot sur la table, et je prends mon sac à dos, puis je sors de chez moi, sans oublier de fermer la porte à clé. Je prends un bus jusqu’au centre ville, et j’entre dans le premier magasin susceptible d’avoir ce que je recherche.

-         Bonjour, est-ce que vous vendez des places pour le concert des Lost Justice dans quinze jours ? Je demande à l’accueil.

-         Bien sûr, monsieur, me répond l’hôtesse. Vous en voulez combien ?

-         Une seule.

-         Vous désirez une place assise ?

-         Non, debout ça ira.

-         Alors ça vous fera trente-quatre euros soixante s’il vous plaît.

Je paye le montant demandé, puis elle imprime ma place et me la tend. J’évite de sautiller partout au milieu du magasin, et je range aussitôt le ticket dans mon sac.  Je rentre aussi vite que possible chez moi, et j’arrive avant ma mère. Je jette le mot qui lui était destiné, et je vais dans ma chambre pour me reposer un peu, tout en écoutant la musique de mes nouvelles idoles, l’image de leurs visages envahissant mon esprit. Quinze jours à patienter, et je les verrai, pour de vrai. L’impatience me gagne, je ne rêve plus que de ce jour. Il a fallu que ça tombe sur moi…

 

Lynel

            Un autre concert se termine, et comme à chaque fois, j’en ressors épuisé. Epuisé, mais satisfait de notre performance, et plus heureux que jamais. Je me suis encore attardé longtemps en coulisse, et les autres membres du groupe sont déjà partis. Je commence à paniquer, et je ne peux retenir un soupir de soulagement quand Mody entre dans la loge.

-         T’inquiète pas, je suis là, me dit-il.

Je lui souris, et je finis de ranger mes affaires. Je ne sais pas ce que je ferai sans lui. Il est le seul à me comprendre. Il sait que je ne veux pas rentrer seul en pleine nuit, alors il m’attend toujours. Lorsque je suis prêt, on marche jusqu’à notre hôtel, en passant pas des rues détournées, pour conserver notre tranquillité et ne pas être assaillis par plusieurs fans hystériques, car il y en a. Arrivés à destination, on se faufile silencieusement dans la salle de bains de notre suite, car tout le monde est déjà couché.

-         Je crois que j’ai trop forcé aujourd’hui, je déclare, j’ai mal aux épaules, j’te dis pas !

-         Tu veux que je te masse ? Me demande Mody.

J’accepte volontiers sa proposition, et je retire mon haut, sans pudeur devant lui, car je n’ai rien à lui cacher. J’attrape le tabouret posé à côté de la douche, et je m’assois dessus. Je pose ma tête sur mes bras croisés, appuyé sur le bord du lavabo, puis je ferme les yeux, et Mody commence son massage. Il ne fait pas attention à l’énorme cicatrice qui traverse mon dos, ni à celles plus petites qui jonchent mon torse, Il ne fait aucun commentaire, comme d’habitude, et je lui en suis reconnaissant. Je m’endors presque sous ses caresses, et ce n’est que quand il me donne une légère tape sur l’épaule que je me rends compte qu’il a terminé. J’ouvre les yeux et je me retourne. Il me sourit et me tend un t-shirt propre qu’il a eu le temps d’aller chercher dans ma chambre. Je le remercie et je l’enfile, puis nous allons nous coucher séparément.

            Notre suite est composée de trois chambres. Je dors dans la première, Joris et Diane dans la seconde, et Mody va rejoindre Sidi dans la troisième. Ce genre de scène est banal dans notre vie. Nous préférons dormir les uns à côté des autres plutôt que dans des suites séparées. Bien sûr, je suis le seul à avoir un lit ne disposant que d’une place, mais j’ai l’habitude. La situation me convient. Il n’y a que notre manager et notre producteur qui logent dans une autre suite, quelques portes plus loin.

            Je tombe rapidement dans un profond sommeil, mais je suis secoué quelques heures plus tard par des tremblements insupportables. Je fais un cauchemar. J’entends quelqu’un sortir de son lit et courir jusqu’à moi. C’est alors que je me réveille, en sueur et dans un grand cri d’effroi. Joris est à quelques mètres de moi. Il n’a pas encore osé s’approcher. Je me réfugie alors sous la couette, ne voulant pas qu’il me voit à moitié nu.

-         C’est bon, je l’ai déjà vu ton corps, me dit-il.

Oui, il l’a déjà vu, mais c’était il y a des années. Depuis, j’ai beaucoup changé, mais ça, il ne peut pas le deviner.

-         Mody… Je souffle.

-         Raconte-moi, insiste mon frère, en réduisant petit à petit la distance qui nous sépare.

-         J’ai dit Mody, je lance, en lui offrant un regard si meurtrier qu’il recule de quelques pas.

Il semble décider de me laisser tranquille, car il sort de la chambre, et quelques secondes plus tard, Mody apparaît dans l’embrasure de la porte, les cheveux en broussaille et le visage fatigué affublé de petits yeux. Apparemment, mon frère vient de le réveiller.

-         Excuse-moi, je lui dis, tout en collant mes genoux à mon torse.

-         C’est pas grave, c’est pas ta faute.

Il se rapproche de moi, et il me prend dans ses bras. Seul lui a ce don de me réconforter par de simples gestes. Je ne pourrai jamais le remercier assez de tout ce qu’il fait pour moi.

-         Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Me demande-t-il.

-         J’ai fait un cauchemar.

Il me serre encore plus fort contre lui, devinant les pensées peu réjouissantes qui ont accaparé mon esprit pendant la nuit.

-         Ca faisait longtemps que tu n’y avais pas pensé, me dit-il.

Oui, ça faisait longtemps, et j’aurais pu m’en passer pendant quelques temps, mais malheureusement, ça arrive régulièrement, et je ne choisis ni l’heure, ni le moment.

***

Petite dédicace à ma Vivi^^ Ca y'est, ton introduction dans mon histoire a été faite lool, je sais pas si les gens vont beaucoup t'aimer là !!! Plus que 29 Choupi =D
Grooos bisous à toutes, et ma loulou, j'espère que je te décevrai pas avec cette histoire vu que depuis le début, tu l'aimes bien XD

***

Publié dans : Simplement différent [en cours] - Par JoY - Communauté : A l'ombre des romances...
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*RéSUMéS*


A LA DERIVE

[en cours]

Un jeune homme est retrouvé échoué sur la plage par Amaury. Lorsqu’il se réveille, il ne se souvient plus de rien. Amaury décide de le recueillir chez lui, mais très vite, le passé de « Dimitri » va ressurgir…

 

BONNES ANNEES
[FINIE]

Lors d’une soirée entre amis pour fêter le passage à la nouvelle année, Danny fait la connaissance de Laurent, qui lui fait découvrir qui il est vraiment. L’amour les réunit, pendant de longues années, malgré les jalousies, malgré les envies. Ils restent ensemble, car pour rien au monde ils ne se sépareraient. Ils sont aveuglés par leur bonheur apparemment sans faille, et leur naïveté va finir par leur jouer des tours…


CHASSES-CROISES

[en cours]

Après avoir passé une année entière chez lui, enfermé dans son mutisme, Kenny décide de retourner au lycée, tout en changeant d’établissement. Il rencontre Loan, un jeune garçon très enthousiaste. Malgré leurs différences, une grande complicité va les lier, et très vite, ils vont se rendre compte qu’ils ont en commun beaucoup plus de choses qu’ils ne le pensaient. Lorsque l'équipe de hand-ball du lycée, dont Kenny fait partie, rencontre celle de son ancien établissement, son passé refait surface. Les rencontres s’enchaînent…

DESTINATION PASSE
[en cours]
Nahel a douze ans quand il est pour la première fois attiré par un garçon. Guiranne a douze ans lorsqu’il est attiré pour la première fois par Nahel. Malheureusement, leur histoire ne se termine pas comme ils l’auraient souhaité. Ils se perdent de vue, mais se retrouvent, cinq ans plus tard,  au lycée. Ils ont changé, leur entourage aussi. Ils ne se connaissent plus,  et ils devront faire abstraction du passé pour poursuivre leur route, chacun de leur côté, malgré les confidences, malgré les blessures…

INDICIBLES CRUAUTES
[FINIE]  

Auxence est un élève doué, un sportif et un homme à femmes. Pour se faire de l’argent de poche, il a organisé un véritable business. En échange de jolies sommes, il fait les devoirs de ses camarades et revend les sujets qu’il a volés. Mais un jour, son petit trafic est découvert par Idriss, une petite frappe de son lycée, et celui-ci va le faire chanter. En échange de son silence, Auxence devra faire tous ses devoirs et supporter toutes ses lubies. Un long chantage s’installe, mais un soir, tout dérape…

 
PLUS QUE NOUS
[FINIE]

Ils sont trentenaires, anglais, confortablement installés dans leurs vies étriquées. Célibataires ou en couple, leurs destins vont s’entremêler. Lorik, Cypriaque, Miralem, Clémentine : ils auraient pu ne jamais se rencontrer, mais ils vont se retrouver enfermés dans leur bulle, au milieu des obstacles et des difficultés. Au-delà des secrets, des mensonges, des faiblesses inavouées, ils devront avant tout croire en eux, et être prêts à tout accepter. L’amour leur fera imaginer l’inacceptable, tout en les empêchant d’entrevoir l’inavouable. De coïncidence en coïncidence, il leur faudra éviter d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Une seule erreur pourrait être fatale…

 

POUR LA VIE
[FINIE]

Depuis toujours, Nuno et Tristao sont les meilleurs amis du monde. Quand d’autres sentiments viennent perturber leur complicité, tout bascule. De révélation en révélation, de nouveaux liens se créent entre eux et leurs amis. La vie les emmène là où ils n’auraient jamais osé aller. Petit à petit, une toile se tisse, dans laquelle le passé n’est jamais bien loin…


SAGESSE D'UNE ETOILE
[en cours]
Accepteront-ils la vérité ? Ils portent le nom d’une étoile, et chaque soir ils s’enlisent un peu plus dans l’obscurité. Ils croient tout connaître l’un de l’autre, mais ils oublient un détail. Un seul, qui les obligera à tout remettre en question, à cause des préjugés, des non-dits, des regards blessants. Orion, Calixte : leur rencontre va être mouvementée, leur relation va mal commencer, le chemin sera compliqué. Ils n’avaient pas prévu de s’aimer, mais personne ne leur a demandé leur avis. Entre soucis professionnels, et problèmes familiaux, ils ne seront pas épargnés. Jusqu’au bout, ils ne pourront deviner ce que leur réserve leur destinée…

SIMPLEMENT DIFFERENT
[en cours]
Elliot est étudiant, Lynel est batteur. Ils vivent dans deux mondes différents, séparés par un simple écran. Elliot l’écoute, l’admire, sa musique l’envoûte, mais Lynel ne le connaît pas. Il ignore son existence. Leurs vies vont être chamboulées, quand leurs yeux vont se croiser. Elliot va tout faire pour approcher son idole, qui préfèrera rester à distance, d’horribles images l’empêchant d’avancer…


SYMPHONIE D'ALCOOLS
[en cours]

Doux orgasme:

2 cl de virilité,

2 cl de sensualité,

2 cl de réalisme,

2 cl de passion,

4 cl de sadisme,

1 cl de romance,

1 cl de maturité

et un zeste de féminité.  

Entrez sans modération dans le monde de Florentin, Arthur, Emilien, Armand et les autres, sous l'oeil bienveillant de Bérénice qui vous guidera où bon vous semblera quand vous serez dans un piteux état! N'oubliez pas que boire ou conduire, il faut choisir, surtout lorsque vous risquez de vous retrouver là où vous n'avez jamais pensé aller, un soir de fête, gai et abruti par le flot de musique déversée autour de vous
 

Et divers OS...


 

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