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Chapitre 9 de SIMPLEMENT DIFFERENT en ligne
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Chapitre 9 de A LA DERIVE en ligne
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Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 01:18

Après leur repas riche en émotions, Kenny et Loan retournèrent en cours. Ils avaient deux heures de français et  la plupart des élèves étaient à moitié endormis quand, au beau milieu de la deuxième heure, quelqu’un frappa à la porte et entra, après que le professeur lui a demandé d’entrer.

-         Excusez-moi de vous déranger. Je suis le professeur responsable de l’association sportive du lycée et je fais le tour des classes pour expliquer aux élèves comment ça se passe s’ils veulent s’inscrire à une quelconque activité.

Kenny sortit alors de sa léthargie et écouta attentivement tout le discours du professeur, sous l’œil curieux de Loan qui ne savait pas que son ami avait l’intention de faire du sport. Il pensait que c’était une bonne idée. Cela pourrait lui éviter de penser à ses problèmes, car vu sa réaction à midi, c’était certain qu’il n’allait pas bien, malgré les apparences.

            Quand le professeur s’en alla, il ne restait plus que 5 minutes de cours alors leur professeur de français les laissa sortir à l’avance. Ravis par cette excellente nouvelle, tous les élèves rangèrent précipitamment leurs affaires et sortirent de la salle, en chahutant et barvadant bruyamment. Kenny et Loan furent parmi les derniers à quitter la pièce, et ils le firent silencieusement, contrairement aux autres. Quand ils se retrouvèrent dans le couloir, Loan engagea la conversation.

-         Alors comme ça, tu veux faire du sport ?

-         J’en ai besoin, répondit Kenny.

-         Tu vas t’inscrire à quoi ?

-         Au hand.

-         C’est pas mal. Si j’étais un peu plus sportif, je crois que c’est ce que je choisirais.

Loan sourit en s’imaginant courir après le ballon, puis ils marchèrent jusqu’à la salle d’études, où ils firent leurs devoirs. Loan tint compagnie à Kenny pendant deux heures, puis il décida de rentrer chez lui. Dans quelques minutes, il y avait une réunion destinée à ceux qui voulaient faire partie de l’équipe de handball du lycée, et Kenny pouvait y aller seul. Ils sortirent de la pièce et échangèrent quelques derniers mots, puis Loan s’en alla. Kenny se rendit au gymnase du lycée, devant lequel plusieurs élèves attendaient le professeur responsable du sport qu’ils avaient choisi. Kenny s’appuya contre un mur, et il en profita pour observer ses futurs coéquipiers. Ils étaient petits ou grands, et ils avaient tous un style différent, mais un point commun les réunissait : leur physique. Ils avaient tous les épaules carrées et une carrure athlétique. Kenny ne faisait pas exception, même si après une année cloîtré chez lui, il avait un peu perdu de sa forme.

            Le professeur arriva quelques minutes plus tard, et les élèves le suivirent à l’intérieur. Kenny appréhendait un peu ce moment, mais il tenta d’oublier ses craintes pour se concentrer uniquement sur lui-même, son sport, son jeu. Il imita les autres et s’assit sur les gradins, puis son futur entraîneur commença son long discours, ennuyant mais inévitable, concernant les règles propres à leur sport, les horaires… Il demanda aux élèves d’écrire leur nom sur une feuille qu’il avait posée sur une table, au centre du gymnase, et une fois que ce fut fait, il les autorisa à s’en aller, en leur donnant rendez-vous deux jours plus tard, pour leur premier entraînement.

            Kenny rentra chez lui à pied, profitant de l’agréable temps qu’il faisait encore en septembre, et laissant ses longs cheveux voler sous une légère brise rafraîchissante. Il s’attendait à ce que sa mère ne soit pas encore rentrée du travail, mais apparemment, elle était déjà là, car la porte s’ouvrit aussitôt quand il abaissa la poignée, sans avoir eu à insérer la clé dans la serrure. Il déposa son sac de cours dans l’entrée, puis il alla se servir un verre d’eau dans la cuisine. Il sortit de la pièce, la boisson dans la main, et il trouva sa mère recroquevillée sur le canapé, la télé encore allumée, et le son coupé. De plus en plus souvent, elle avait ce genre d’attitude. Elle redevenait une enfant, jouant avec tout et n’importe quoi, oubliant ses responsabilités.

            Kenny s’assit au bord du canapé, et il la secoua doucement pour la réveiller. Son geste eut rapidement l’effet escompté, car sa mère ouvrit les yeux et  se releva brusquement pour se mettre en position assise, les bras enroulés autour de ses jambes repliées contre sa poitrine. Kenny s’inquiéta de,la voir dans un tel état. Il ne comprenait pas. Il devait s’être passé quelque chose. Il regarda autour de lui mais il ne trouva pas ce qu’il cherchait, ce qui aurait pu déclencher ce genre de crise chez sa mère.

            Il la prit dans ses bras, et ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’elle se calma, semblant retrouver ses esprits, du moins ce qu’il en restait. Kenny ne se faisait plus d’illusion. Même lorsque sa mère était au meilleur de sa forme, elle restait l’ombre d’elle-même. Elle était là, mais ses pensées étaient ailleurs.

-         Qu’est-ce qui s’est passé, maman ? Lui demanda-t-il.

Sa mère tourna alors la tête vers lui, et elle le fixa. Kenny fut surpris de l’intensité de son regard. Habituellement, il était vide, sans expression, mais ce jour-là, une lueur de tristesse brillait à l’intérieur de ses pupilles. Elle avait pleuré, il en était persuadé, et même si ce n’était pas une idée reluisante pour le commun des mortels, lui s’en réjouissait, car au moins, sa mère avait ressenti quelque chose et montré ses sentiments, ce qui n’arrivait que très rarement depuis plusieurs mois.

-         Dis-moi, maman, je suis là, essaya-t-il de la rassurer.

Il déposa un baiser sur sa joue pour l’encourager, et sa tactique sembla marcher, car sa mère ouvrit la bouche. Elle resta un moment ainsi, sans qu’aucun son ne franchisse ses lèvres, puis elle se rétracta et sa bouche se referma. Déçu, Kenny se leva et alla déposer son verre vide dans le lave-vaisselle. Il alla ramasser son sac qui traînait dans l’entrée, puis il marcha jusqu’à sa chambre. Il n’avait fait que quelques pas lorsque qu’il entendit la voix de sa mère s’élever, faible mais assez distincte pour parvenir jusqu’à ses oreilles.

-         Je suis allée voir ton père, déclara-t-elle.

Kenny se figea, loin de s’attendre à ça. Sa mère n’avait pas revu son père depuis qu’il avait quitté la maison, plus d’un an auparavant. Il ne pensait pas qu’elle aurait le courage d’aller le voir un jour, car c’était une dure épreuve. Il le savait, car il était allé discuter avec lui peu après son départ.  A présent, son père lui manquait. Il se sentait coupable de ne pas lui rendre visite plus souvent, mais ce qu’il avait vu la dernière fois qu’il l’avait fait lui avait brisé le cœur, et il ne se sentait pas prêt à réitérer l’expérience.

            Sous le choc, ses doigts se desserrèrent, et son sac tomba au sol, dans un  bruit sourd. Kenny se retourna et courut jusqu’au canapé, d’où sa mère n’avait pas bougé. Il l’enlaça à nouveau, alors qu’elle se remettait à pleurer, silencieusement, mais abondamment.

-         Pourquoi t’as fait ça ? Lui demanda-t-il, trop abasourdi pour trouver autre chose à dire.

Mais il n’obtint aucune réponse, car elle n’en avait pas. Elle avait dû se décider sur un coup de tête, sans réfléchir, et elle regrettait sûrement d’avoir fait ce que son fils lui avait toujours déconseillé. Mais il était trop tard.

-         C’est pas grave, finit par dire Kenny. Comment il va ?

-         Pas très bien, murmura-t-elle. Il a beaucoup maigri, et il a des bleus sur son visage.

Kenny sentit ses traits se crisper. Apparemment, son père n’avait pas changé depuis qu’il l’avait vu. Il était toujours dans le même état. Cette pensée l’attrista, mais il ne pouvait rien faire pour l’aider, il le savait.

-         Ca va aller, maman, ça va aller, lança-t-il, tentant de s’en convaincre lui-même.

Il garda plusieurs minutes sa mère dans ses bras, jusqu’à ce qu’il sente un poids tomber sur son épaule. Elle s’était endormie, bercée par les mots que Kenny lui murmurait à l’oreille, se voulant rassurant.

Il la porta jusque dans son lit, et il remplaça ses vêtements froissés par une chemise de nuit vert pomme parsemée d’oursons roses. Il la glissa sous le drap, puis il le remonta jusque sur ses hanches. Il l’embrassa une dernière fois sur le front, puis il sortit de la chambre. Il se rendit dans la sienne, après avoir récupéré son sac. Epuisé, il s’allongea sur son lit, et il s’endormit aussitôt, sans avoir mangé ni enfilé son pyjama.

            Le lendemain matin, il fut réveillé par la radio de son réveil, qui se déclenchait chaque jour de la semaine à six heures trente, comme il l’avait programmé. Il n’avait cours qu’à huit heures, mais il lui fallait un certain temps pour s’éveiller et se préparer. De plus, il avait dix minutes de marche jusqu’à son lycée et il aimait arriver au moins cinq minutes à l’avance, alors il se levait tôt.

            Il sortit de son lit, et répéta ses gestes quotidiens. Il déjeuna aux côtés de sa mère, qui tenait un bol entre ses mains et buvait un café, en fixant un point imaginaire au dessus de l’évier. Il lui rappela l’heure à laquelle elle travaillait, puis il alla régler quelques détails de son apparence, avant de prendre la direction du lycée.

            Arrivé à destination, il retrouva Loan, qui l’attendait déjà devant le portail. Il lui fit la bise, puis ils se rendirent à leur premier cours de la journée. Kenny fit la connaissance de leur professeur de Sciences Economiques et Sociales, réputé pour ses piètres explications. Il était chauve, et au-dessus de ses lèvres trônait une moustache grisonnante aux extrémités recourbées, donnant au vieil homme une apparence farfelue, accentuée par sa chemise bleu marine enfoncée dans un bermuda en velours orange, le tout accompagné d’une paire de sandales beiges aux multiples trous décoratifs.

            Les autres élèves ne lui avaient pas menti. Le cours parut interminable à Kenny. Le professeur écrivait les phrases qu’il dictait au tableau, puis il les les lisait une seconde fois, et il s’assurait que chaque personne l’ait bien marquée sur une feuille. Le cours n’avançait pas, et après deux heures, ils n’avaient copié qu’une dizaine de lignes. Ils n’avaient rien appris.

-         C’est encore pire que ce que tu m’avais raconté ! Lança Kenny quand il sortit de la salle, libéré par la sonnerie qui venait de retentir.

-         Désolé, répondit Loan en riant.

-         On n’est pas sorti avec lui !

Ils furent pris d’un fou rire incontrôlable pendant plusieurs minutes, puis ils finirent par se calmer. Ils se rendirent à leur cours suivant, et ils répètèrent cette action jusqu’à ce que leur journée soit finie.

-         On rentre ensemble ? Demande Kenny à Loan.

Ils n’habitaient pas dans le même quartier, mais la maison de Loan était sur la route de Kenny.

-         Aujourd’hui, je peux pas, répondit Loan en se tordant les doigts et en fixant ses pieds.

-         Pourquoi ?

-         J’ai…j’ai un truc à faire…euh…à la bibliothèque ! On se voit demain !

Il partit d’un pas rapide, laissant Kenny seul au milieu du couloir. Il n’avait rien compris et les explications de Loan étaient trop vagues pour être honnêtes. Pourtant, il décida de ne pas lui demander d’explications. Il pourrait le faire le lendemain. Il se dirigea tranquillement vers la sortie, mais son rythme de marche fut interrompu par une chose qui l’étonna tout en le vexant, car Loan lui avait menti, déjà. Il lui avait dit qu’il se rendait à la bibliothèque, mais il n’y était pas du tout. Kenny venait de le croiser sur son chemin, toujours à l’intérieur du lycée, dans le couloir principal. Loan s’était discrètement frayé un passage à travers la porte entrebâillée d’une salle de cours, après avoir vérifié que personne ne le surprenait. Il n’avait pas vu Kenny, mais Kenny avait tout vu, et il se demandait bien ce qui pouvait intéresser son ami dans la pièce où il venait d’entrer, car à cette heure-là, il n’avait rien à y faire.

***

Une suite de plus pour cette histoire, qui, j'espère, vous plaira.
Gros bisous à toutes.

***

Publié dans : Chassés-croisés [en cours] - Par JoY - Communauté : Shiteki Yoku
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*RéSUMéS*


A LA DERIVE

[en cours]

Un jeune homme est retrouvé échoué sur la plage par Amaury. Lorsqu’il se réveille, il ne se souvient plus de rien. Amaury décide de le recueillir chez lui, mais très vite, le passé de « Dimitri » va ressurgir…

 

BONNES ANNEES
[FINIE]

Lors d’une soirée entre amis pour fêter le passage à la nouvelle année, Danny fait la connaissance de Laurent, qui lui fait découvrir qui il est vraiment. L’amour les réunit, pendant de longues années, malgré les jalousies, malgré les envies. Ils restent ensemble, car pour rien au monde ils ne se sépareraient. Ils sont aveuglés par leur bonheur apparemment sans faille, et leur naïveté va finir par leur jouer des tours…


CHASSES-CROISES

[en cours]

Après avoir passé une année entière chez lui, enfermé dans son mutisme, Kenny décide de retourner au lycée, tout en changeant d’établissement. Il rencontre Loan, un jeune garçon très enthousiaste. Malgré leurs différences, une grande complicité va les lier, et très vite, ils vont se rendre compte qu’ils ont en commun beaucoup plus de choses qu’ils ne le pensaient. Lorsque l'équipe de hand-ball du lycée, dont Kenny fait partie, rencontre celle de son ancien établissement, son passé refait surface. Les rencontres s’enchaînent…

DESTINATION PASSE
[en cours]
Nahel a douze ans quand il est pour la première fois attiré par un garçon. Guiranne a douze ans lorsqu’il est attiré pour la première fois par Nahel. Malheureusement, leur histoire ne se termine pas comme ils l’auraient souhaité. Ils se perdent de vue, mais se retrouvent, cinq ans plus tard,  au lycée. Ils ont changé, leur entourage aussi. Ils ne se connaissent plus,  et ils devront faire abstraction du passé pour poursuivre leur route, chacun de leur côté, malgré les confidences, malgré les blessures…

INDICIBLES CRUAUTES
[FINIE]  

Auxence est un élève doué, un sportif et un homme à femmes. Pour se faire de l’argent de poche, il a organisé un véritable business. En échange de jolies sommes, il fait les devoirs de ses camarades et revend les sujets qu’il a volés. Mais un jour, son petit trafic est découvert par Idriss, une petite frappe de son lycée, et celui-ci va le faire chanter. En échange de son silence, Auxence devra faire tous ses devoirs et supporter toutes ses lubies. Un long chantage s’installe, mais un soir, tout dérape…

 
PLUS QUE NOUS
[FINIE]

Ils sont trentenaires, anglais, confortablement installés dans leurs vies étriquées. Célibataires ou en couple, leurs destins vont s’entremêler. Lorik, Cypriaque, Miralem, Clémentine : ils auraient pu ne jamais se rencontrer, mais ils vont se retrouver enfermés dans leur bulle, au milieu des obstacles et des difficultés. Au-delà des secrets, des mensonges, des faiblesses inavouées, ils devront avant tout croire en eux, et être prêts à tout accepter. L’amour leur fera imaginer l’inacceptable, tout en les empêchant d’entrevoir l’inavouable. De coïncidence en coïncidence, il leur faudra éviter d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Une seule erreur pourrait être fatale…

 

POUR LA VIE
[FINIE]

Depuis toujours, Nuno et Tristao sont les meilleurs amis du monde. Quand d’autres sentiments viennent perturber leur complicité, tout bascule. De révélation en révélation, de nouveaux liens se créent entre eux et leurs amis. La vie les emmène là où ils n’auraient jamais osé aller. Petit à petit, une toile se tisse, dans laquelle le passé n’est jamais bien loin…


SAGESSE D'UNE ETOILE
[en cours]
Accepteront-ils la vérité ? Ils portent le nom d’une étoile, et chaque soir ils s’enlisent un peu plus dans l’obscurité. Ils croient tout connaître l’un de l’autre, mais ils oublient un détail. Un seul, qui les obligera à tout remettre en question, à cause des préjugés, des non-dits, des regards blessants. Orion, Calixte : leur rencontre va être mouvementée, leur relation va mal commencer, le chemin sera compliqué. Ils n’avaient pas prévu de s’aimer, mais personne ne leur a demandé leur avis. Entre soucis professionnels, et problèmes familiaux, ils ne seront pas épargnés. Jusqu’au bout, ils ne pourront deviner ce que leur réserve leur destinée…

SIMPLEMENT DIFFERENT
[en cours]
Elliot est étudiant, Lynel est batteur. Ils vivent dans deux mondes différents, séparés par un simple écran. Elliot l’écoute, l’admire, sa musique l’envoûte, mais Lynel ne le connaît pas. Il ignore son existence. Leurs vies vont être chamboulées, quand leurs yeux vont se croiser. Elliot va tout faire pour approcher son idole, qui préfèrera rester à distance, d’horribles images l’empêchant d’avancer…


SYMPHONIE D'ALCOOLS
[en cours]

Doux orgasme:

2 cl de virilité,

2 cl de sensualité,

2 cl de réalisme,

2 cl de passion,

4 cl de sadisme,

1 cl de romance,

1 cl de maturité

et un zeste de féminité.  

Entrez sans modération dans le monde de Florentin, Arthur, Emilien, Armand et les autres, sous l'oeil bienveillant de Bérénice qui vous guidera où bon vous semblera quand vous serez dans un piteux état! N'oubliez pas que boire ou conduire, il faut choisir, surtout lorsque vous risquez de vous retrouver là où vous n'avez jamais pensé aller, un soir de fête, gai et abruti par le flot de musique déversée autour de vous
 

Et divers OS...


 

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