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Lundi 8 septembre 1 08 /09 /Sep 02:34

Elliot

            Je ne trouve pas les mots pour décrire la soirée que je viens de passer. Du début à la fin, c’était simplement génial. Quand tous les membres sont entrés sur scène, j’ai aussitôt été envoûté par la puissante aura qu’ils dégageaient. J’étais accoudé à la scène, parmi tant d’autres fans de ce groupe, et m’étonnant moi-même, je réussis à me contrôler pour ne pas me transformer en groupie hystérique. Je restai calme  pendant tout le concert, applaudissant de temps à autre, murmurant les paroles des chansons qui se suivaient.

            Alors que je croyais aimer ce groupe, je me suis aussi pris d’admiration pour le batteur. Son attitude est à la fois étonnante et hypnotisante. Les baguettes semblent glisser dans ses doigts, et quand elles retombent sur les divers éléments de sa batterie pour émettre des sons bien définis, on dirait qu’il pourrait faire la même chose les yeux fermés. La mélodie n’en serait même que plus belle et appréciable. De plus, il n’est pas désagréable à regarder. Il a un physique totalement différent du mien, mais il n’en est pas moins charmant. Il a les cheveux noirs, très courts autour de son crâne, mais un peu plus longs sur le dessus. Pas assez pour tomber sur les côtés, mais assez pour que quelques mèches recouvrent le haut de son front. Il n’a aucun piercing, mais j’ai pu apercevoir un tatouage dans sa nuque lorsqu’il s’est retourné. Il me semble avoir vu une étoile remplie d’un autre symbole, mais je n’en suis pas sûr. Il n’était pas assez près.

            Sa tenue était tout à fait assortie. Il portait un t-shirt argenté orné d’un col en V dont le bas était dissimulé sous la ceinture d’un short noir en toile descendant jusqu’à mi-cuisse. Le tout était complété par une simple paire de baskets noirs et vernis. Je ne sais pas pourquoi je l’ai détaillé ainsi, mais je me souviens de tout. De sa tenue, de ses déplacements, de ses gestes, de sa musique. Le reste du groupe semblait s’être évanoui lorsque ses yeux se sont ancrés aux miens. Il semblait attendre quelque chose de moi pendant leur seconde chanson. My life is a gloomy mess. Qu’a-t-il pu vivre ?  You must come to help me move on. Que puis-je faire pour l’aider? Autant de questions auxquelles je n’ai pas de réponses, qui j’espère, viendront bientôt éclairer mon esprit.

            Pour l’instant, je rentre chez moi, tentant de me remettre le mieux que je peux des diverses émotions qui m’ont traversé pendant le concert. Il est onze heures passées, et je monte dans ma voiture. Après quelques minutes de trajet, j’arrive chez moi. Ma mère est déjà couchée, alors j’entre et je monte dans ma chambre aussi discrètement que possible. Je ne prends pas le temps de me laver. Je pose mon poster sur ma table de nuit, et je me change rapidement, puis je me glisse sous mes draps, bercé par la douce musique ancrée dans ma tête.

            Le lendemain, je m’octroie une grasse matinée, car c’est un jeudi, et je n’ai pas cours. Quand ma mère vient frapper quelques coups à ma porte pour m’avertir qu’il est déjà midi et demi, et qu’elle a préparé à manger, je décide tout de même de me lever. Je la rejoins dans la cuisine, toujours en pyjama, et nous prenons notre déjeuner ensemble, comme d’habitude.

-         Ton concert s’est bien passé ? Me demande-t-elle.

-         Oui, oui, très bien, même si y’avait trop de monde, surtout des gamines.

-         C’est pas étonnant. Les gars du groupe sont plutôt mignons ! Et la fille aussi, ajoute-t-elle en me souriant.

Mal à l’aise, je ne trouve rien à répondre à sa dernière remarque. J’évite ce regard amusé et je pars dans une contemplation de mon assiette. La fin du repas se passe un peu mieux, car elle enchaîne vite sur d’autres sujets divers et variés.

            Nous en sommes au dessert lorsque la sonnette retentit. Ma mère commence à se lever, mais je lui fais signe de s’asseoir et je vais moi-même jusqu’à l’entrée. J’ouvre la porte et je tombe nez à nez avec Violette.

-         Salut toi, dit-elle, très enjouée.

Elle pose furtivement ses lèvres sur les miennes, et je la laisse entrer. Elle me suit jusqu’à la cuisine, et elle salue ma mère. Elle s’excuse quand elle remarque qu’on n’est pas encore sorti de table.

-         Je débarrasse et j’arrive, lui dis-je. Va m’attendre dans ma chambre.

Elle me sourit et fait ce que je lui ai dit. Je finis de manger, et quand il n’y a plus rien sur la table, je vais la rejoindre. Elle est assise sur mon lit, le poster entre les mains, et elle fixe étrangement le numéro de téléphone qui est inscrit dessus.

-         C’est quoi ? Me demande-t-elle, les sourcils froncés.

-         Le numéro de téléphone du batteur.

Elle n’a pas l’air de me croire car elle baisse la tête, sans perdre son air ennuyé.

-         Tu te fous de ma gueule ? Me dit-elle. T’as pas trouvé plus crédible comme excuse ?!

J’essaye de ne pas m’énerver, car je sais que je dis la vérité, même si elle lui paraît invraisemblable.

-         Je vais chercher à boire, je te laisse te calmer deux minutes, je te mens pas Vivi, et je te trompe encore mois si c’est ce que tu imagines.

Elle le sait, j’en suis sûr. Elle sait que j’ai raison, mais elle est trop fière pour l’admettre devant moi, après m’avoir fait une scène de jalousie aussi grotesque. Je sors de la pièce, et je vais vraiment chercher une bouteille d’eau dans le frigo de la cuisine. Je me sers un verre, que je bois lentement, puis j’en prends un autre dans un placard, et j’emporte tout dans ma chambre. Quand j’y arrive, Violette met fin à un appel.

-         C’était qui ?

Elle me regarde alors d’une étrange façon. Je connais ce regard. Soit ma question la gêne, soit elle ne veut pas me répondre. Peu importe. Que ce soit l’une ou l’autre solution, ce n’est pas de bon augure. Je n’essaye pas d’en savoir plus, préférant remettre l’interrogatoire à plus tard. Je m’assois sur le lit, à ses côtés, et quand elle envahit mon cou de baisers, je ne peux m’empêcher d’être excité. Nous finissons par faire l’amour toute la journée.

 

Lynel

            Je n’y crois pas. Je viens de recevoir un coup de fil assez agaçant. Je n’ai pas eu le temps de prononcer un seul mot quand j’ai décroché qu’une fille à la voix horripilante m’hurlait des paroles sans queue ni tête dans l’oreille. Apparemment, elle pense que son petit ami la trompe, et ce serait avec moi. Au fur et à mesure qu’elle débitait son histoire, j’ai compris que son petit ami se trouve être le charmant garçon à qui j’ai donné mon numéro après le concert. Toujours en croyant que j’étais la maîtresse de son homme, elle m’a clairement recommandé de ne pas m’approcher de lui, de ne pas essayer une seule seconde de ruiner leur histoire, puis elle a brusquement raccroché.

            Je ne sais pas encore ce qui m’a le plus énervé. Qu’une inconnue m’appelle pour m’insulter et m’accuser de choses totalement fausses, ou que ces choses soient fausses justement. Je ne devrais même pas me poser la question. Je ne connais cet homme que de vue. Je ne veux pas m’attacher à lui. Je ne suis pas prêt, mais je sens que c’est déjà trop tard. Pourtant, tout semble clair pour lui. Il a une copine, depuis longtemps d’après ce que j’ai compris, et elle fait tout pour que leur couple perdure. D’un côté, je la jalouse, de l’autre, je l’admire. Elle l’aime vraiment, je suis persuadé qu’il est entre de bonnes mains. Je me suis attaché lui, sans le vouloir, sans pouvoir m’y opposer, mais je dois l’oublier, pour lui, pour elle, pour eux.  

-         C’est bon, on peut y aller, dit Sidi, me sortant de mes pensées.

Je lui souris, et je prends la main qu’il me tend pour me lever. Nous sommes à l’aéroport de Montpellier, et nous allons partir pour Bordeaux, pour un autre concert. Nous attendions dans la salle d’embarquement, et une hôtesse vient de nous prévenir qu’on pouvait monter à bord de l’avion.

            Pendant le trajet, chaque membre du groupe trouve quelque chose à faire. Diane et Joris lisent un magazine, collés l’un à l’autre. Mody et Sidi ne sont pas à côté, pour leur plus grand malheur, mais ils dorment tous les deux profondément. Je tente de les imiter, mais je ne réussis qu’à somnoler, l’esprit troublé par de trop nombreuses pensées.

            Lorsque nous arrivons à destination, nous récupérons nos bagages, puis nous prenons un taxi qui nous amène jusqu’à l’hôtel dans lequel nous avons réservé deux suites. Notre producteur et notre manager nous attendent dans la leur. Nous allons leur rendre une brève visite après avoir déposé nos affaires. Nous parlons de la disposition scénique, du son, mais il se fait tard, alors nous n’entrons pas dans les détails. Suivi des quatre autres membres du groupe, je marche jusqu’à notre suite. Alors qu’ils entrent tous à l’intérieur, je reste dans le couloir. Mon frère se demande ce que je fais.

-         Tu comptes rester là ? Veut-il savoir.

-         Je pense que je vais aller faire un tout avant de me coucher. J’ai besoin de prendre l’air.

-         Ca te dérange si je t’accompagne ?

-         Bien sûr que non.

-         Tant mieux ! J’arrive, je vais chercher une veste.

Au contraire, son idée m’arrange. J’aperçois Mody au fond de la pièce et il me lance un clin d’œil discret. Il a compris. Il sait que je suis soulagé que quelqu’un ait proposé de venir avec moi, trop effrayé de sortir seul la nuit. Je lui souris tristement, puis Joris me rejoint, un pull sur les épaules. Il ferme la porte de la suite, et nous nous dirigeons vers l’ascenseur pour descendre jusqu’au rez de chaussée. Nous sortons de l’hôtel, et nous commençons notre promenade, en prenant soin de prendre des rues peu fréquentées pour éviter d’être assaillis par des fans au beau milieu de la nuit.

            L’obscurité m’oppresse, mais la présence de Joris à mes côtés me rassure un peu. Je fais tout pour ne pas qu’il remarque mon stress omniprésent quand il fait noir. Petit à petit, j’arrive à profiter du calme de la nuit, jusqu’à ce qu’on croise deux personnes. Deux hommes. Je ne m’arrête pas, je fixe mes pieds et j’enfonce mes mains dans mes poches. Je n’ai aucune raison d’avoir peur. Ils sont deux, nous sommes deux. Ils ne peuvent pas nous dominer, contrairement à une grande bande.

-         Roule pas du cul comme ça pédale, on dirait une fille !

On les a croisés, tout s’est bien passé, mais ils ont du se retourner, et je le fais aussi lorsque j’en entends un prononcer cette phrase pleine de méchanceté. Sans pouvoir me contrôler, je marche d’un pas décidé vers le plus grand, et je le colle au mur, le tenant par le col. Surpris par ma force, il ne dit rien, ne sourit plus, et son compatriote n’ose pas faire un geste. Enervé, blessé par sa remarque, je lève le poing et m’apprête à le frapper, mais une main déterminée enserre mon poignet et le tire vers l’arrière. Je suis obligé de lâcher ma proie, et les deux hommes déguerpissent aussi vite qu’ils le peuvent. Je me tourne alors vers mon frère. Je lui en veux. Il n’aurait pas du m’empêcher de le frapper. Ca m’aurait fait du bien.

-         Pourquoi t’as fait ça ??

-         Je pouvais pas te laisser le faire, merde ! Si je t’avais pas arrêté, ce type, tu l’aurais battu, tu lui aurais pas donné un simple coup de poing,  tu le sais ! T’aurais pu aller en prison pour ça ! Je sais comment c’est là bas, et crois-moi Lynel, t’as aucune envie de t’y retrouver !

-         Qu’est-ce que j’en ai à foutre ! J’ai plus rien à perdre maintenant !

Je sens ma voix se briser. Je vois ma vie défiler, et je n’ai toujours pas oublié. L’incident de ce soir n’est là que pour tout me rappeler. Je vois le regard blessé de mon frère. Il ne comprend pas pourquoi je suis dans un tel état d’esprit. Vaincu. Désespéré. Il ne peut pas comprendre, c’est normal. Il ne sait rien, rien de lui, rien de nous. Il n’a jamais rien su, et ce n’est pas le moment de lui dévoiler la vérité.

-         Si : moi, répond-il après plusieurs secondes de réflexion.

Soudain, comme réveillé par ses paroles, je me jette dans ses bras. Je me retiens de pleurer, mais ma détresse est palpable lorsque je prends la parole.

-         Excuse-moi Jo’, je suis désolé, c’est toi qui as raison ! Heureusement que t’es là, sinon je m’en serais jamais sorti. Le lycée a été une période horrible pour moi. En plus, t’as été arrêté, ça a été la goutte de trop. J’aurais pas du m’énerver, je suis désolé, je…

-         C’est pas grave, m’interrompt-il. Allez, viens, on rentre à l’hôtel.

Il a l’air touché par ce que je viens de lui dire. Ce n’est pas grand-chose, pas de révélations, mais c’est plus que ce que nous avons l’habitude de nous dire. Nous nous entendons très bien, nous sommes très complices, mais nous ne nous confions jamais l’un à l’autre quand ça ne va pas. Nous avons tendance à tout garder pour nous, à tort ou à raison.

            Je me libère de l’emprise chaleureuse de ses bras, et nous partons en direction de notre hôtel, perdus dans nos pensées. Lorsque nous entrons dans notre suite, tout le monde semble endormi. Je dis un faible « bonsoir » à mon frère, qui part rejoindre Diane dans sa chambre, puis je vais dans la mienne. Je laisse alors libre court aux larmes que je retiens depuis plusieurs minutes. Tout me revient, les bons comme les mauvais moments, surtout les mauvais. D’habitude, j’en fais des cauchemars, mais aujourd’hui, je revois tout alors que je suis complètement éveillé, et c’est pire que tout.

            Effondré sur mon lit, je tends le bras et je plonge une main dans ma valise. J’ouvre la fermeture d’une poche longeant un des côtés de mon bagage, et j’en sors un petit carnet en cuir beige. Je le prends et je me rallonge, puis je l’ouvre. Je contemple un moment la photo que j’ai glissée à l’intérieur. Je l’ai toujours sur moi, mais je la cache pour que personne la voie, pour que personne ne sache. Mes sanglots redoublent d’intensité.

            La photo est protégée par un film plastique, mais mon carnet est déjà inondé par l’eau qui s’écoule de mes yeux lorsque j’entends quelqu’un se glisser dans ma chambre. Il ne dit rien, il ne fait rien, mais il est là, debout près de la porte. Il ne bouge pas, car il sait qu’il ne peut pas m’aider, pas lorsque je suis dans cet état. Il faut simplement attendre que ça passe. Il sait ce que je tiens entre mes mains, car il a déjà vu la photo. Mody connaît toute l’histoire, et il est le seul.
      -    Depuis sept ans, t’as toujours pas réussi à oublier, murmure-t-il…

***

Helloow^^
Je suis vraiment désolée pour le retard, mais j'ai été pas mal occupée ces derniers temps!
J'espère que cette petite suite vous plaira.
Prochaine maj: A LA DERIVE 7 ou CHASSES-CROISES 5.
Groos bisous à tous et à toutes! Vous m'en voulez pas hein^^ Vous êtes toujours là XD

***

Publié dans : Simplement différent [en cours] - Par JoY - Communauté : A l'ombre des romances...
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*RéSUMéS*


A LA DERIVE

[en cours]

Un jeune homme est retrouvé échoué sur la plage par Amaury. Lorsqu’il se réveille, il ne se souvient plus de rien. Amaury décide de le recueillir chez lui, mais très vite, le passé de « Dimitri » va ressurgir…

 

BONNES ANNEES
[FINIE]

Lors d’une soirée entre amis pour fêter le passage à la nouvelle année, Danny fait la connaissance de Laurent, qui lui fait découvrir qui il est vraiment. L’amour les réunit, pendant de longues années, malgré les jalousies, malgré les envies. Ils restent ensemble, car pour rien au monde ils ne se sépareraient. Ils sont aveuglés par leur bonheur apparemment sans faille, et leur naïveté va finir par leur jouer des tours…


CHASSES-CROISES

[en cours]

Après avoir passé une année entière chez lui, enfermé dans son mutisme, Kenny décide de retourner au lycée, tout en changeant d’établissement. Il rencontre Loan, un jeune garçon très enthousiaste. Malgré leurs différences, une grande complicité va les lier, et très vite, ils vont se rendre compte qu’ils ont en commun beaucoup plus de choses qu’ils ne le pensaient. Lorsque l'équipe de hand-ball du lycée, dont Kenny fait partie, rencontre celle de son ancien établissement, son passé refait surface. Les rencontres s’enchaînent…

DESTINATION PASSE
[en cours]
Nahel a douze ans quand il est pour la première fois attiré par un garçon. Guiranne a douze ans lorsqu’il est attiré pour la première fois par Nahel. Malheureusement, leur histoire ne se termine pas comme ils l’auraient souhaité. Ils se perdent de vue, mais se retrouvent, cinq ans plus tard,  au lycée. Ils ont changé, leur entourage aussi. Ils ne se connaissent plus,  et ils devront faire abstraction du passé pour poursuivre leur route, chacun de leur côté, malgré les confidences, malgré les blessures…

INDICIBLES CRUAUTES
[FINIE]  

Auxence est un élève doué, un sportif et un homme à femmes. Pour se faire de l’argent de poche, il a organisé un véritable business. En échange de jolies sommes, il fait les devoirs de ses camarades et revend les sujets qu’il a volés. Mais un jour, son petit trafic est découvert par Idriss, une petite frappe de son lycée, et celui-ci va le faire chanter. En échange de son silence, Auxence devra faire tous ses devoirs et supporter toutes ses lubies. Un long chantage s’installe, mais un soir, tout dérape…

 
PLUS QUE NOUS
[FINIE]

Ils sont trentenaires, anglais, confortablement installés dans leurs vies étriquées. Célibataires ou en couple, leurs destins vont s’entremêler. Lorik, Cypriaque, Miralem, Clémentine : ils auraient pu ne jamais se rencontrer, mais ils vont se retrouver enfermés dans leur bulle, au milieu des obstacles et des difficultés. Au-delà des secrets, des mensonges, des faiblesses inavouées, ils devront avant tout croire en eux, et être prêts à tout accepter. L’amour leur fera imaginer l’inacceptable, tout en les empêchant d’entrevoir l’inavouable. De coïncidence en coïncidence, il leur faudra éviter d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Une seule erreur pourrait être fatale…

 

POUR LA VIE
[FINIE]

Depuis toujours, Nuno et Tristao sont les meilleurs amis du monde. Quand d’autres sentiments viennent perturber leur complicité, tout bascule. De révélation en révélation, de nouveaux liens se créent entre eux et leurs amis. La vie les emmène là où ils n’auraient jamais osé aller. Petit à petit, une toile se tisse, dans laquelle le passé n’est jamais bien loin…


SAGESSE D'UNE ETOILE
[en cours]
Accepteront-ils la vérité ? Ils portent le nom d’une étoile, et chaque soir ils s’enlisent un peu plus dans l’obscurité. Ils croient tout connaître l’un de l’autre, mais ils oublient un détail. Un seul, qui les obligera à tout remettre en question, à cause des préjugés, des non-dits, des regards blessants. Orion, Calixte : leur rencontre va être mouvementée, leur relation va mal commencer, le chemin sera compliqué. Ils n’avaient pas prévu de s’aimer, mais personne ne leur a demandé leur avis. Entre soucis professionnels, et problèmes familiaux, ils ne seront pas épargnés. Jusqu’au bout, ils ne pourront deviner ce que leur réserve leur destinée…

SIMPLEMENT DIFFERENT
[en cours]
Elliot est étudiant, Lynel est batteur. Ils vivent dans deux mondes différents, séparés par un simple écran. Elliot l’écoute, l’admire, sa musique l’envoûte, mais Lynel ne le connaît pas. Il ignore son existence. Leurs vies vont être chamboulées, quand leurs yeux vont se croiser. Elliot va tout faire pour approcher son idole, qui préfèrera rester à distance, d’horribles images l’empêchant d’avancer…


SYMPHONIE D'ALCOOLS
[en cours]

Doux orgasme:

2 cl de virilité,

2 cl de sensualité,

2 cl de réalisme,

2 cl de passion,

4 cl de sadisme,

1 cl de romance,

1 cl de maturité

et un zeste de féminité.  

Entrez sans modération dans le monde de Florentin, Arthur, Emilien, Armand et les autres, sous l'oeil bienveillant de Bérénice qui vous guidera où bon vous semblera quand vous serez dans un piteux état! N'oubliez pas que boire ou conduire, il faut choisir, surtout lorsque vous risquez de vous retrouver là où vous n'avez jamais pensé aller, un soir de fête, gai et abruti par le flot de musique déversée autour de vous
 

Et divers OS...


 

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