JoY's YAOI stories : EnJoY !



            Suite à cette déclaration de son meilleur ami, Tristao n’avait, en apparence, rien changé. Il était resté avec Morgan, qui ne connaissait pas le contenu de leur conversation mais se doutait que les choses n’étaient plus les mêmes. Il ne parlait pas avec Nuno, mais ne l’évitait pas non plus, car celui-ci ne le harcelait pas. Il attendait patiemment que Tristao vienne à lui. Il ne voulait pas le brusquer, et il ne tentait rien. Il avait enfin compris que son ami était amoureux de lui, alors il n’avait pas besoin de faire quoi que ce soit. Il finirait par céder, et il viendrait de son plein gré, il le savait.

            Dans l’esprit de Tristao, les choses n’étaient pas aussi claires. Il était amoureux de Nuno, certes, mais après plusieurs mois de relation, il s’était vraiment attaché à Morgan. Il tenait à lui et il ne voulait pas le blesser plus qu’il ne l’avait déjà fait. Le choix semblait simple et évident. Pour être heureux, il devait aller retrouver l’homme dont il était amoureux, celui dont il rêvait depuis des mois et à cause de qui il pleurait dans son lit, n’imaginant pas une seconde la possibilité d’une quelconque relation plus qu’amicale. Mais sa conscience le rattrapait, et le visage de Morgan apparaissait devant ses yeux. Il lui avait fait faire des choses ignobles, il l’avait emmené dans les méandres de la douleur, et il avait tout accepté, pour lui. Pas une seule fois il n’avait protesté, voulant rester aux côtés de l’homme qu’il aimait, à tout prix.

            Si Tristao le laissait tomber, la pente serait rude, et la chute brutale. Il s’en remettrait, sûrement, mais dans quel état le retrouverait-on, après avoir pleuré toutes les larmes de son corps et juré contre cette relation qu’il savait vouée à l’échec ? Il avait une décision à prendre, et cette fois encore, tout le monde n’en sortirait pas indemne.

 

            Son esprit n’avait pas fait de choix concret, mais son cœur le trahissait. Plus les jours passaient, plus il délaissait Morgan. Il n’allait quasiment plus chez lui, et ne l’invitait pas non plus. Celui-ci l’avait bien remarqué, et il avait beau essayer de s’y préparer psychologiquement, il n’arrivait pas à se faire à l’idée qu’il allait bientôt se retrouver seul. Le point de rupture était proche, il le savait, mais c’était dur, dur à accepter.

 

            Tristao et Morgan restèrent encore un mois ensemble, malgré les conflits qui s’accumulaient, malgré leur relation qui empirait, malgré l’ennui qui s’installait. Morgan ne faisait rien pour convaincre son ami de rester avec lui. Ce serait peine perdue. Il avait essayé d’être égoïste, de le retenir, mais il s’était vite démoralisé. Alors il attendait, patiemment, que Tristao se décide à le quitter. Ce qu’il fit début janvier, quelques jours avant la fin des vacances, pour lui laisser le temps de s’en remettre, un peu, avant de retourner en cours. Fatigué d’être étiqueté « casé » alors que son couple était devenu quasi inexistant, il prit son courage à deux mains, et il alla le voir, chez lui. Il sonna, Morgan était seul. Dès qu’il vit Tristao, il comprit. Les mains cachées dans les poches de son blouson, la tête baissée et les sourcils froncés, son attitude ne trompait pas. Il ne venait ni par courtoisie, ni par plaisir, simplement pour mettre les choses au point.

            Morgan se décala, sans un mot, pour laisser entrer son ami. Tristao alla directement s’asseoir sur le canapé du salon, suivi par Morgan qui laissa tout de même une certaine distance entre eux, distance qui augmentait un peu plus chaque jour depuis quelques temps.

 

            - Il faut qu’on parle Morgan, dit Tristao pour mettre fin au silence gênant qui s’installait.

            - Je sais, répondit simplement le jeune homme concerné.

            - Toi et moi, ça marche plus, et c’est de ma faute, je sais, mais on peut pas continuer comme ça.

 

            Morgan ne pouvait sortir aucun mot de sa bouche. Il allait le quitter, enfin. Non. C’était trop tôt pour lui, il voulait encore sentir l’odeur épicée de son parfum, lui répéter qu’il l’aimait. Pourtant, il ne fit rien. Il l’avait vu venir, mais il n’y était pas si bien préparé que ça apparemment, car rapidement, les larmes inondèrent son visage, sans un bruit.

            Voir son ami en pleurs fit de la peine à Tristao, mais ils n’avaient pas le choix. Ils devaient se séparer, pour leur bien à tous les deux. Morgan l’aimait, mais lui en aimait un autre. S’ils continuaient dans cette voie, ils ne seraient jamais vraiment heureux. Quand il s’était engagé dans cette relation, Tristao savait que le retour à la réalité serait douloureux, mais il l’avait imaginé pour eux deux. Il n’avait jamais imaginé que Nuno serait un jour attiré par lui. Il en était ravi, mais il était triste pour Morgan qui était le seul à être lésé au final.

            Voulant le consoler, il s’approcha de lui et l’enlaça. Morgan enfouit sa tête dans son cou et accrocha ses mains au blouson de Tristao qui s’humidifiait sous les larmes. Ils restèrent un long moment comme ça, silencieux. Petit à petit, Morgan se calma, mais ne lâcha pas Tristao pour autant. Ce dernier commença à desserrer leur étreinte, mais Morgan l’agrippait si fort qu’il n’eut d’autre choix que de rester collé contre lui. Il ne se rendit pas tout de suite compte de ce que faisait Morgan. C’est quand il sentit sa langue glisser dans son cou qu’il réagit. Il le repoussa, gentiment mais fermement. Morgan se faisait plus de mal qu’autre chose en agissant ainsi, alors il ne devait pas le laisser faire. D’autant qu’il n’en avait pas envie, même si Morgan restait très attirant.

 

            - Embrasse-moi, le supplia Morgan, le sortant brusquement de ses pensées.

 

            Tristao le regarda alors dans les yeux. S’il n’avait pas une once d’affection pour l’homme qui se tenait en face de lui, il aurait eu pitié de lui. Mais il appréciait Morgan, et sa détresse le touchait. Il pouvait faire cela pour lui. Peut-être que ça le soulagerait. Ce n’était qu’un baiser après tout. Ce serait leur dernier.

            Il approcha lentement ses lèvres et alla les déposer sur celles de Morgan, qui savoura ce baiser. Il tenta de l’approfondir, mais Tristan y mit fin avant que tout ne dérape.

 

            - S’il te plaît, murmura Morgan, les yeux fermés, enivré par la sensation voluptueuse de ses lèvres sur celles de l’homme qu’il aimait.

            - Non Morgan. On s’arrête là. C’était la dernière fois, répliqua Tristao en se levant.

 

            Il se dirigea vers la porte d’entrée, sous le regard penaud de Morgan. Il ne devait pas se laisser attendrir, ce n’était pas bon pour lui. Peut-être pourraient-ils être à nouveau amis, mais plus rien ne serait comme avant. Ensemble, ils avaient fait des choses que personne n’imaginait. Ils étaient liés, à jamais, mais leur liaison appartenait au passé.

 

            - Au revoir, Morgan. On se verra au lycée, finit par dire Tristao, avant de sortir et de refermer la porte derrière lui, laissant seul un homme détruit.

 

            Une fois dehors, il attrapa son portable, et composa un numéro. La sonnerie retentit plusieurs fois avant que quelqu’un ne décroche.

 

            - C’est Tris’.

            - …

            - Tu peux venir maintenant, je sors juste de chez lui.

            - …

            - Merci de faire ça pour moi. Ca va pas être facile, mais merci. Ca me fait mal au cœur, mais t’avais raison, je pouvais pas faire autrement.

            - …

            - D’accord. Tu m’appelles pour me donner des nouvelles.

            - …

            - Ciao.

 

            Il raccrocha et rentra chez lui, soulagé d’un poids de taille, mais inquiet pour son ami.

 

            Pendant ce temps-là, Morgan restait assis sur son canapé, les jambes repliées et les bras autour d’elles, comme pour se protéger de quelque chose. Mais il était trop tard. Il était déjà blessé, profondément. La douleur était horrible, plus encore que pour une simple rupture, car celle-là, il la prévoyait depuis qu’ils avaient commencé à se fréquenter. Il s’était parfois pris à espérer que leur relation durerait, mais quatre mois, c’était déjà bien plus qu’il ne l’avait imaginé. Il avait vécu dans le doute, mais il avait été plus heureux que jamais. En perdant l’être qu’il aimait le plus au monde, il ne tombait pas de haut, mais c’était tout aussi violent, comme une petite piqûre d’aiguille, mais en plein cœur.

            Il était plongé dans ses réflexions lorsque la sonnette retentit. Il décida de ne pas aller voir qui c’était. Il ne voulait voir personne. Mais le bruit assourdissant persistait, l’autre insistait. Il ne le supportait plus, alors il se leva. Il vacilla un peu à cause de sa récente crise de nerfs, mais tout s’arrangea vite. Il se dirigea vers l’entrée et ouvrit la porte. Surpris, il la dévisagea un moment, avant de s’écarter pour la laisser passer.

 

            - Je viens voir si tu t’en sors, lui expliqua Vanessa.

            - Les nouvelles vont vite, répliqua Morgan.

            - Je suis sa meilleure amie, et il s’inquiète pour toi. Puis c’était le moins que je puisse faire, ajouta-t-elle, un peu gênée.

            - Pourquoi ?

            - C’est un peu de ma faute si tu te retrouves tout seul. C’est moi qui ai conseillé à Tris’ de rompre avec toi. Ca vous menait nulle part cette relation.

 

            Las, Morgan alla se rasseoir à la place encore chaude où il se trouvait quelques instants plus tôt. Il invita Vanessa à faire de même. Elle s’assit en lui souriant, puis elle l’encouragea à poser sa tête sur ses genoux recouverts d’un simple collant résille bordeaux, surmonté d’une jupe courte noire. Il hésita, mais se dit que ça lui ferait peut-être du bien de se faire câliner par son amie. En effet, une fois allongé, Vanessa vint enfouir ses mains dans la tignasse blonde de Morgan. Il ne se coiffait jamais, préférant laisser ses cheveux prendre la forme qu’ils souhaitaient. Raides et mi-longs, ils étaient très désordonnés, allant jusqu’à former une légère frange sur son front. Vanessa pouvait les toucher pendant des heures, ça ne le dérangeait pas.

 

            - Alors, comment tu t’en sors ? Insista-t-elle, sans interrompre ses caresses relaxantes.

            - Bah ça fait que quelques minutes, donc bon, le choc est encore là. Mais ça va passer, t’inquiète pas, répondit Morgan pour la rassurer.

            - J’espère… Tu m’en veux pas ?

            - Pourquoi je t’en voudrais ? Ca serait arrivé un jour ou l’autre de toute façon. T’as fait qu’accélérer les choses, et c’est peut-être pas plus mal. 

 

            Ils parlèrent longtemps, de tout et de rien. Vanessa n’était pas dupe, elle sentait que malgré son air confiant, Morgan n’encaissait pas si bien sa rupture. Comme Tristao, elle s’inquiétait pour lui, pour ce qu’il allait devenir. Elle préférait ne rien lui dire, pour ne pas se le mettre à dos. Il valait mieux que Morgan se sente à l’aise et qu’elle occupe son esprit. Ca lui éviterait de trop ressasser ses mauvaises pensées.

 

***

 

            Après cette journée éprouvante, Tristao était resté quelques jours seul chez lui. Il avait besoin de réfléchir, de faire le point. Rompre avec Morgan n’avait pas été chose facile. Il l’avait déjà fait des dizaines de fois dans le passé, avec ses conquêtes d’une nuit qui en voulaient plus, mais jamais il ne s’était senti mal lorsqu’il l’avait fait. Jusqu’à aujourd’hui. Pourtant, il ne regrettait pas.

            La fin des vacances arriva rapidement. En ce samedi soir, l’air était frais, mais Tristao observait le ciel étoilé, accoudé à sa fenêtre ouverte. Il venait de manger, et il était à présent vingt et une heures. Son portable entre les mains, il hésitait encore. Il avait fait son choix, il n’avait plus peur, ou alors simplement de sa réaction, mais il hésitait quand même. Il regarda une dernière fois le très court message qu’il venait de rédiger, puis il se décida, et alla chercher un nom dans le répertoire avant d’envoyer un simple mot.

 

            Nuno regardait calmement la télé, assis en tailleur sur un fauteuil du salon, quand son portable vibra. Il avait un nouveau message. Il l’ouvrit, et ce qu’il lut, bien que très concis, lui fit rater un battement de cœur : « Viens ». Un sourire vint embellir son visage si mélancolique depuis trop longtemps. Son attente n’avait pas été vaine. Enfin, son ami se décidait. Il avait appris que Tristao avait rompu avec Morgan, mais malgré tout, il n’avait pas voulu se montrer entreprenant. Il préférait que Tristao fasse le premier pas, de son plein gré, ce qui était maintenant chose faite.

            Il se leva, attrapa son manteau et alla à la cuisine prévenir sa mère qui buvait une infusion avant d’aller au lit.

 

            - Je vais chez Tristao maman, je reviendrai sûrement que demain.

            - Ca fait longtemps que tu es pas allé chez lui.

            - C’est vrai. On s’était disputé pour des choses bêtes, mais ça va mieux maintenant. Tout est redevenu comme avant.

            - Tant mieux chéri. Ce serait bête de perdre ton meilleur ami de toujours pour des bêtises.

            - C’est sûr.

 

            Il alla l’embrasser sur la joue, puis il sortit de la maison. Il venait à peine de se rendre compte que tôt ou tard, il allait devoir annoncer à ses parents qu’il était, si ce n’est gay, au moins bisexuel. Il n’avait aucune idée de l’opinion de ses parents là-dessus, alors il n’était ni stressé, ni confiant. Il allait devoir leur dire, c’est tout.

            Il traversa la rue, et sonna chez Tristao. Ce fut le père de son ami qui lui ouvrit, avec un grand sourire accueillant.

 

            - Tiens, Nuno. On t’avait pas vu depuis longtemps à la maison.

            - Je sais, on a été pas mal occupé Tristao et moi dernièrement, chacun de notre côté, c’est pour ça.

            - Tu m’étonnes. Il a passé presque tous ses week-ends avec son petit ami, que tu dois connaître aussi. Morgan, je crois.

            - Oui, Morgan, dit Nuno, d’un ton sec, ne voulant pas parler de lui.

 

            Le père de Tristao remarqua le changement d’attitude de Nuno, et il sembla amusé.

 

            - C’est pas bien d’être jaloux, lança-t-il au meilleur ami de son fils, un sourire en coin.

            - Je suis pas jaloux ! Réplique Nuno, sur la défensive. Plutôt possessif !

            - Tu crois que Tris’ t’appa… Attends ! Pourquoi tu serais possessif ? J’ai loupé un épisode là moi ?

            - Je t’expliquerai papa, les coupa Tristao, arrivé en bas des escaliers après avoir entendu Nuno parler. On monte ? Demanda-t-il à son ami.

 

            Nuno acquiesça et ils gravirent les marches, sous le regard rieur de l’adulte, puis ils parcoururent le couloir, sans un mot, jusqu’à la chambre de Tristao. Ils avaient tant de fois fait ce chemin, ensemble, mais aujourd’hui, tout était différent. Ils n’étaient plus deux adolescents qui couraient pour se jeter sur le meilleur jeu vidéo, mais deux jeunes hommes qui marchaient, touchés par l’amour.

            Arrivés à l’endroit désiré, Tristao ferma la porte à clef, et un silence s’installa dans la pièce. Il s’approcha lentement de Nuno, et le débarrassa de son manteau qu’il posa négligemment sur une chaise. Il lui ôta son pull et son t-shirt, avant de se déshabiller à son tour, sans le lâcher du regard. Nuno se laissait faire, complètement captivé par la sensualité que dégageait Tristao dans de simples gestes. Lorsque ce dernier se retrouva seulement en boxer, il alla s’allonger sur son lit, et planta à nouveau ses yeux dans ceux de Nuno, qui comprit l’invitation sans que l’autre ne l’ait énoncée. Il enleva ses chaussures, et déboutonna son jean pour le laisser tomber au sol. Il retira ses chaussettes, puis il rejoignit Tristao qui l’attendait. Ils se glissèrent sous les draps silencieusement, avant de s’enlacer amoureusement.

            Ils se dévisagèrent, semblant ne pas y croire, puis leurs bouches s’approchèrent, attirées tels deux aimants. De sa langue experte, Tristao alla caresser les lèvres de Nuno, qui se délecta de cette sensation nouvelle, avant de laisser entrer ce morceau de chair humide dans sa bouche. Leurs langues se trouvèrent, les emmenant déjà dans un autre monde, empli d’insouciance. Ce n’est qu’après un long baiser, composé de ballets endiablés et de délicieuses caresses que leurs lèvres se délièrent.

            L’un et l’autre essoufflés par cet échange passionné, ils se regardèrent sans dire un mot. Puis Tristao vint déposer un dernier baiser sur les lèvres de Nuno, avant de se décaler pour laisser son nouvel amant poser sa tête sur son torse, ce qu’il fit volontiers. Il passa son bras autour de la taille de Nuno, et ils s’endormirent ainsi, un sourire aux lèvres, ne songeant pas au lendemain. Un sommeil inespéré, chacun lové dans les bras de l’homme qu’il aimait.


***

Un nouveau chapitre!
Désolé pour le retard, il est 03h04, mais je voulais absolument qu'il soit en ligne avant que j'aille me coucher, alors j'ai bataillé, mais j'y suis arrivé!
J'espère au moins qu'il vous plaira, sinon gare à vous >_<

Merciii à ma Perri d'amour de me supporter jusque tard dans la nuit, même si on a l'habitude^^
Pleure pas, Routchoutchou, je t'aimeeuuhh - °

Bisous à toutes et à très vite!
Prochaine maj: chapitre 18, normalement, je vais essayer de le faire demain.

Au fait, mes exams sont FINiiiiiiiiiiS !
Ca vous fait une belle jambe hein? Mais moi, ca me fait plaisir! Je suis en vacances
:)))

***

Jeu 29 mai 2008 13 commentaires
Yeeeeesssss Enfin le passage que j'attendais même si je l'avais en direct sur msn. J'aime ces deux grands cons!!! J'adore te supporter aussi tard. J'ai trouvé une autre folle qui reste jusqu'à 3h du matin ^^. Gros bisous Et promis tu vas avoir ton chapitre et ton passage ( Perri qui essae de se motiver ^^) P.S. : plus que 4
Perri - le 29/05/2008 à 03h19
Moi aussiii je les aime mes choupinets XD
Merci d'être là, de me supporter, je t'adore, je t'aime^^
Et en plus tu devines mes fins, même pas drôle, mais tu le dis à personne hein?? C'est notre secret XD

Prends ton temps pour le chapitre, et pour le passage aussi lol, j'espère que l'inspi sera encore là demain, parce que je suis trop motivée pour écrire la fin de mes choubidous, si belle fin n'est-ce pas? mdrr

La folle te salue, loulou, et te souhaite une bonne nuit, à 03h25 :)))
Grooos bisous et à dans 4 jours pour de vrai! Waouuuhhhhh o_o
JoY
Coucou !! J'ai adoré l'échange du baiser sous les draps entre Nuno et Tristao ! C'est très joliment écrit !! Par contre, je suis un peu triste pour Morgan ! J'espère qu'il va trouver quelqu'un (xD) Bon courage pour la suite et bonne vacance à toi !! : )) *¤* Fidlansi.
Fidlansi - le 29/05/2008 à 11h10
Ahh ahh vous verrez, le pauvre je le torture XD
JoY
Oooinn c'est trop triste pour Morgann!! En plus je jl'aimais bien moi!! Mais bon au moins il y aura un couple qui s'aime dans les deux sens!! Mais je trouve ça super triste quand même!! Méchante sadique! :p Gros bisous ma chérie
Toto - le 29/05/2008 à 11h49
Lool hey c'est pas fini lol, tu sais pas ce qu'il va devenir mouahhahahha XD
Bisous!
JoY
ce couple est trop mignon!!!!! t'as de la veine que t'es exams soient finis, les miens ne font que commencer
saya - le 29/05/2008 à 17h11
Bon courage alors^^
JoY
J'adore ta suite ! Elle est sublîme ! Vraiment très belle j'ai beaucoup de peine pour le petit Morgan ! Serieux j'ai presque versé une larme pour lui ! lol bon bah bisous je t'adooore !! ^^
danouch74 - le 29/05/2008 à 20h15
Merciiii beaucoup °° :D
A très viite!
Groos bisous!
JoY
Bouhhhh Jt'aime plus Rikiki Queen! Naaa mé ohhh!! Et mon ptit Morgan! Il devient quoi! Jvais aller le consoler moi!(en tte amitié bien entendu)! Un blond en plus rahhh Nuno jl'aime pas! NA XD Jtm quand mm blondie chou =) 09*** XD tu m'as comprise ou pas ? =D
Mahea - le 29/05/2008 à 21h02
Bien sur, c'est pas comme si t'aimais les blonds XD
Ze t'aimmeuh routchouchou ^^
Rooooos bizx! et 09******** :p
Lov'u
JoY
aaaahhhh!! j'adore cette fic!!! encore un chapitre génia!! bonnes vacances puisque t'as fini les partiels! (moi aussi, depuis 1semaine! :D )
Elo - le 29/05/2008 à 23h29
Humm merci beaucoup, pour tes compliments et pour ton commentaire :))
J'espère que la suite te plaira.
Profite des vacances lol
JoY
Heeeey ^^ ça fesait looooongtemps =p du new chez moi (enfin xD) Bsx
Ciciloutte - le 31/05/2008 à 00h10
Youhou, donnez moi un "J", donnez moi un "O", donnez moi un "Y" !!! Oui, bon j'arrête!!! Mais je suis quand même contente qu'ils se soient ENFIN retrouvés...espérons que rien d'autre ne viendra les empêcher de se découvrir (dans tous les sens du terme!!!). Par contre, je suis inquiète pour Morgan...je suis sans doute pas la seule, mais j'espère qu'il va pas faire de connerie et qu'il finira par rencontrer un gentil garçon tout mignon avec qui il pourra faire plein de galipettes dans le foin (euh...dans le foin ou ailleurs, hein, je suis pas difficile!!!)... Bizz
Meryl - le 31/05/2008 à 13h11
Oui, c'est moi JOY, quelle perspicacité!!
Tout le monde est inquet pour lui, j'adoore XD Ralala, si vous saviez lool
Je vais voir pour le foin, mais ca me dit pas trop. Comme tu l'as dit, ca pique, puis ca rentre de partout ces trucs là o_o
Bisx!
JoY
lol !!!! je sens qu'il va y avoir des problemes avec morgan ..... sinon je viens juste de remarquer que tu faisais exactement la même faute que moi .... tu n'utilise pas de conjonctions de subordination.... lol !! entre tes propositions, tu ne met que des virgules ou des conj. de coordination.... (mais, ou, et donc or ni car ) *hum... je devrais me reconvertir en prof de français.....*
rikka - le 01/06/2008 à 15h17
Lool c'est possible XD
JoY