JoY's YAOI stories : EnJoY !



L’endroit était paradisiaque. Le ciel bleu, vide de tout nuage, se reflétait dans l’eau. Le lac était immense, couleur émeraude, si beau que l’on ne pouvait le lâcher du regard. Il était bordé de centaines de sapins, plus hauts les uns que les autres. Derrière, on pouvait apercevoir d’immenses glaciers, amenant à l’air estival une fraîcheur bienvenue. Des cascades d’eau découlaient des sommets pour se déverser dans le lac, dans lequel quelques courageux osaient parfois se baigner, malgré l’eau gelée. Mais ce n’était pas encore la haute saison, alors il n’y avait pas grand monde dans le parc. Car ce paysage féerique était au centre d’un parc naturel mondialement connu. Les gens venaient de partout.

De ce fait, des logements avaient été construits pour accueillir les touristes. Une dizaine de chalets en bois étaient visibles sur la berge. Chacun comportait quatre chambres de deux personnes, souvent occupées par plusieurs couples ne se connaissant ni d’Eve ni d’Adam. L’ambiance pouvait être conviviale ou romantique, selon que l’on restait en groupe ou en couple.

Plus loin, un hôtel se détachait du reste. Construit sur une presqu’île, accessible par un simple ponton, il dominait le lac. Comme le reste, il était fait de bois, et s’intégrait parfaitement dans le paysage, malgré ses quatre étages. Il n’était jamais vide, car il était très prisé. Les prix étaient abordables, et l’accueil parfait. L’intérieur aussi était majoritairement en bois, des murs jusqu’aux tables de nuit. La décoration était simple, mais chaleureuse, dans les tons orangés. Les lumières étaient tamisées, donnant à l’endroit une atmosphère particulière, autant dans les pièces communes que dans les chambres.

L’été ne faisait que commencer, mais quelques vacanciers étaient déjà là. Certains déjeunaient en terrasse, voulant profiter de la brise matinale. D’autres préféraient rester dedans, et se réveiller en douceur à la chaleur d’un feu de cheminée, autour d’un bon café et de viennoiseries en tous genres. Il y avait très peu d’enfants, ce qui n’était pas pour déplaire à ceux qui étaient venus dans l’espoir d’y trouver le calme et la sérénité.

On n’entendait rien d’autre que les voix des touristes, et les bruits des cuillères dans les tasses, ajoutés aux habituels effondrements des cascades et aux chants des oiseaux.

Rien ne semblait pouvoir troubler cette ambiance paisible et insouciante. Les gens respiraient la joie de vivre. Ils se sentaient intouchables, et, aveuglés par leur bonheur, ils ne voyaient pas tout ce qu’il se passait alentour.

 

Non loin de là, sur le rivage recouvert de galets, un homme se promenait. Ses cheveux étaient roux, presque rouges. Ils partaient dans tous les sens, car il ne se coiffait jamais. Le souffle du vent et ses longs doigts fins faisaient l’affaire. Le soleil faisait briller sa chevelure, que de légères mèches blondes éclaircissaient. Tout cela était parfaitement assorti à sa peau hâlée, due à de nombreuses heures passées à grimper sur les montagnes nues de toute végétation, et ses yeux verts étaient mis en valeur, car ils étaient à la fois très clairs et très frappants.

Vêtu d’un simple bermuda de toile noir, et d’une chemise à manches longues turquoise, il ne craignait pas le froid matinal. Ses tongues à la main et les pieds dans l’eau, il faisait une énième fois le tour du lac, adorant se balader à l’ombre des sapins.  Il était le propriétaire du fameux hôtel, alors il avait souvent l’occasion de se retrouver seul, à errer parmi les arbres. Il appréciait ses moments de solitude qui lui permettaient de faire le vide. Tenir un hôtel n’était pas chose facile, même si son affaire marchait plutôt bien. A vingt-huit ans, il avait réussi là où son frère avait échoué. Quand leur père était mort cinq ans auparavant, son aîné avait hérité de l’hôtel, mais il n’avait pas su le gérer et avait préféré abandonner au bout d’un an, pour passer le relais à Amaury. Ainsi, il s’était retrouvé à la tête d’une entreprise en faillite, mais grâce à ses idées originales, il était devenu le patron de l’hôtel le plus demandé du pays et sa renommée ne cessait d’augmenter chaque jour.

 

Il marchait déjà depuis quelques minutes lorsqu’il aperçut une forme, à une cinquantaine de mètres devant lui, gisant sur les galets. Il ne pouvait distinguer ce que c’était, car elle était immobile et dissimulée sous les vagues. Il s’approcha donc prudemment, mais il fut surpris par une légère vague qui vint dévoiler à sa vue un triste spectacle. Le corps d’un homme apparut. Il avait de longs cheveux bruns qui recouvraient son visage et l’inondaient d’énormes gouttes d’eau. Son t-shirt noir était trempé et lui collait au corps, révélant des abdominaux plutôt développés pour une taille si mince. Son jean devait peser tant il était imbibé d’eau.

Il ne semblait pas avoir passé trop de temps dans le lac, mais il avait l’air sans vie, et sa peau très pâle inquiéta Amaury, qui ne pouvait se résoudre à passer son chemin. Il voulut de lui porter secours, et avança de quelques pas vers lui, lentement. Méfiant malgré tout, il se préparait à un éventuel geste de l’inconnu.

Voyant que ce dernier ne jouait pas la comédie, il s’agenouilla à côté de lui et attrapa son poignet pour prendre son pouls. La cadence était très faible, mais son cœur battait, c’était l’essentiel. Si l’on regardait de plus près, on voyait sa poitrine se soulever de temps à autre. Il était simplement inconscient, mais son état ne laissait rien présager de bon, alors Amaury décida de l’emmener se faire soigner aussi vite que possible. Field était la ville la plus proche, construite à l’intérieur même du parc. Avec sa centaine d’habitants à l’année, c’était plutôt un village, mais lorsque les hôtels et les résidences secondaires étaient pleins, principalement en été, la population était multipliée par dix, voire plus. Il n’y avait pas de médecin, mais des services d’ambulances et de pompiers, ce qui conviendrait parfaitement. Le centre était à deux kilomètres du lieu où ils se trouvaient, alors Amaury entreprit de prendre le corps frêle et mouillé dans ses bras pour l’emmener jusqu’à sa voiture, garée un peu plus loin. La tâche s’avéra difficile, car il ne portait pas les chaussures les plus pratiques pour porter un poids tout en marchant sur des galets, mais il finit par arriver à l’endroit désiré. Il fut soulagé lorsque sa Jeep noire apparut dans son champ de vision. Elle était toute neuve, mais déjà recouverte de poussière, à cause des nombreux chemins en terre qu’il empruntait dans le parc.

Dans un dernier effort, il piétina jusqu’à la porte arrière de sa voiture, puis l’ouvrit. Tenant le corps inerte dans son bras gauche, il attrapa de son bras droit tous les outils qui traînaient sur les sièges et les jeta dans le coffre. Il allongea doucement l’inconnu sur la banquette et ferma la porte, pour aller s’installer à l’avant. Après un dernier coup d’œil dans le rétroviseur, il démarra et la voiture disparut au milieu des arbres. Ils arrivèrent vite au centre-ville, où quelques vacanciers venaient poster leurs cartes ou manger un morceau à l’auberge. Amaury alla se garer devant le centre de secours, et quelques infirmières en sortirent en le voyant arriver. Il leur expliqua rapidement la situation, puis ils allèrent chercher une civière pour transporter le corps du blessé. Amaury les aida à le porter, mais une fois à l’intérieur, il dut attendre que le médecin principal examine l’homme inconscient qu’il avait trouvé. On lui conseilla d’aller s’occuper l’esprit pour patienter, car s’il restait ici, il ne ferait que stresser un peu plus, alors il sortit du bâtiment et alla prendre un thé à l’auberge, où il acheta aussi son journal quotidien. Il le feuilleta tout en avalant sa boisson chaude, et quand il l’eut terminé, il jeta un coup d’œil à sa montre. Il était là depuis vingt minutes. Le médecin devait en avoir terminé avec son patient.

Il demanda l’addition et paya, en encourageant le serveur à garder la monnaie comme pourboire. Celui-ci fut assez surpris car Amaury avait été assez généreux. Ce devait être un nouveau, car d’habitude, les autres ne s’en étonnaient pas. Ils savaient qu’Amaury était le propriétaire de l’hôtel du lac, et qu’il avait amassé une petite fortune grâce à ça, alors ils avaient même tendance à en demander plus. Il ne fit pas attention à l’air ahuri du jeune homme et s’en alla. Quand il eut rejoint le centre, le médecin l’attendait, assis à son bureau, surveillant du coin de l’œil l’inconnu allongé sur la table d’auscultation.

-         Comment il va ? S’inquiéta Amaury.

-         Il pourrait aller mieux, mais il a de la chance dans son malheur. L’eau n’a pas atteint les poumons, alors il n’y a pas grand-chose à faire. Je lui ai mis une perfusion pour qu’il se nourrisse et reprenne des forces, et une infirmière lui a enlevé ses vêtements pour les remplacer par d’autres, plus secs, que j’ai toujours en réserve, au cas où une situation comme celle-ci se présente.

Amaury se tourna vers le jeune garçon. Effectivement, il était branché à une perfusion, et il ne portait plus les mêmes habits, on l’avait changé.

-         Qu’est-ce que je dois faire maintenant ?

-         Rien de particulier. Il n’y a plus qu’à attendre qu’il se réveille. Vous pouvez rester si vous voulez, le rassura le médecin. Je n’ai pas de rendez-vous aujourd’hui, alors à moins qu’il y ait une urgence, on n’a pas besoin de changer de pièce et on peut patienter tranquillement. Vous voulez quelque chose à lire ?

Amaury acquiesça, et l’homme sortit plusieurs magazines d’un tiroir de son bureau. Il les tendit à Amaury qui les attrapa.

-         Merci Docteur, pour tout.

-         De rien. Je ne fais que mon boulot.

Le médecin lui sourit, et ils se plongèrent tous deux dans une lecture inutile mais nécessaire pour faire passer le temps.

 

            Ce n’est qu’une demi-heure plus tard qu’un léger bruit attira leur attention. Ils levèrent le nez de leur magazine, et remarquèrent que le jeune blessé tentait péniblement de leur parler. N’y arrivant pas, il avait un peu bougé pour faire trembler la table et ça avait marché. Il avait été entendu. A présent qu’on le regardait, il essayait de sortir quelques mots, mais sa voix n’était que murmure. Il vit Amaury s’approcher de lui, et lui faire signe de se calmer. Il comprit qu’il n’avait pas à dire quoi que ce soit. Les deux hommes présents à ses côtés allaient s’occuper de lui. Etrangement, il leur faisait confiance, même s’il ne savait pas qui ils étaient, ni ce qu’il faisait là.

            Le médecin examina une dernière fois ses yeux, puis il l’autorisa à se lever. Les débuts furent laborieux, il était encore trop faible, mais Amaury l’autorisa à s’appuyer sur lui, et ce fut tout de suite plus simple. Ils allèrent tous les trois se rasseoir autour du bureau, pour discuter un moment. Le médecin lui posa diverses questions. Comment s’appelait-il ? D’où venait-il ? Que faisait-il échoué sur une plage, au fin fond du Canada ? Mais il ne sut y répondre. Il ne se souvenait de rien, même pas de son propre nom.

-         Ce n’est peut-être qu’une amnésie temporaire, le rassura le docteur. Nous allons laisser passer quelques jours, et si il n’y a aucune amélioration, nous aviserons. Vous savez où dormir ?

-         Je…

-         Il peut dormir chez moi, l’interrompit Amaury. Ca ne me dérange pas.

-         Merci, dit l’inconnu en lui souriant sincèrement. Il ne pouvait pas se permettre de refuser, il n’avait nulle part où aller, et cet homme semblait honnête.

 

Le médecin leur donna quelques derniers conseils, puis il les laissa partir, heureux de pouvoir enfin rentrer chez lui, pour retrouver sa femme qui devait lui avoir préparé un bon petit plat, comme tous les midis.

      Amaury, de son côté, emmenait son nouveau protégé chez lui. Il l’avait aidé à monter  l’avant, du côté passager, puis il avait pris le volant, le laissant ainsi donner libre cours à ses pensées. Lui-même se demandait comment ils allaient vivre à deux dans un si petit habitat. En effet, depuis quatre ans, il vivait dans une caravane, près de la ville et de l’hôtel, mais au milieu des sapins. Elle était assez grande, et comportait trois pièces séparées, mais il n’y avait qu’un seul lit, et pour deux, il était plutôt petit. ll voulait emménager dans sa propre maison, qu'il avait commencé à construire à quelques mètres de là, au coeur de la forêt, mais il faisait tout lui-même, donc ça lui prenait du temps. Il n’y avait pas de magasin de bricolage là où il vivait, alors il devait faire plus de deux cent kilomètres pour atteindre la grand ville la plus proche : Calgary. Là-bas, il achetait tout ce dont il avait besoin : meubles, vitres, peinture, tapisserie… Quand il y était, il était totalement dépaysé, car tout était très moderne, mais petit à petit, il s’y était habitué, même s’il préférait le calme de sa forêt natale. Il espérait simplement que l’homme qu’il recueillait ne serait pas trop choqué par son mode de vie.

      Quand ils arrivèrent au campement, le jeune homme parut plutôt surpris, mais il ne fit aucune remarque. Amaury l’aida à sortir de la voiture et le laissa observer un moment l’environnement dans lequel il se trouvait. Autour de sa caravane, il avait aménagé un fil à linge et un endroit destiné aux feux de camp. Il avait planté une tente dans laquelle il stockait tout ce qui ne rentrait pas ailleurs, et il avait installé une petite table et deux chaises dehors, dont il se servait lorsqu’il faisait beau.

      Après quelques minutes, Amaury l’invita à entrer dans la caravane. Il lui expliqua comment marchait la salle de bains, puis il lui conseilla de s’asseoir sur le lit, en laissant la porte ouverte pour qu’ils puissent discuter, car la cuisine n’était pas très grande et il allait préparer à manger.

-         T’as faim ? Lui demanda Amaury.

-         Pas trop non. Mais faites quelque chose pour vous, j’en prendrai peut-être un bout.

-         D’accord, mais s’il te plaît, ne me vouvoie pas, dit Amaury, en mettant un plat de lasagnes à réchauffer au micro-ondes. On doit presque avoir le même âge toi et moi.

-         Qu’est-ce que j’en sais moi, je me souviens de rien, lança l’inconnu, dépité.

Amaury le rejoint dans la chambre et s’assit à côté de lui. Il se doutait que ça ne devait pas être facile d’avoir tout oublié, mais il voulait essayer de le rassurer. Il n’avait pas envie de l’héberger avec un sourire si triste sur son visage.

-         Ecoute, je sais que c’est pas facile, mais peut-être que dans quelques jours, tout te reviendra. T’auras sûrement des flashs, comme a dit le médecin, mais en attendant, il vaut mieux te faire à l’idée que tu te souviens de rien. Tu vas rester ici et reprendre tout à zéro, le temps qu’il faudra, puis on verra.

La sonnerie du micro-ondes retentit, alors Amaury se leva, en espérant avoir trouvé les bons mots. Mais il n’avait pas encore franchi la porte de la chambre quand son nouveau colocataire ajouta quelque chose.

-         Qu’est-ce que tu veux que j’aie comme flash ? Je sais même plus comment je m’appelle !

Amaury ne se retourna pas, et hésita un moment, mais il finit par se lancer. Ce jeune garçon avait besoin d’un prénom.

-         Dimitri, dit-il.

-         Hein ?! Lança l’inconnu, ne comprenant pas de quoi il parlait.

-         T’as qu’à t’appeler Dimitri.

-         Pourquoi ?

-         Parce que j’aime bien ce prénom.

Il sortit de la chambre, sans lancer au désormais Dimitri le temps de répliquer.


***

Voilà le premier chapitrede la co-prod avec Mai-Lynn, j'espère qu'il vous plaît^^
L'intrigue se met en place hihi xD
Gros bisous à toutes, Viviii, Sweetheart, Loulou...
Je vous zaiimeeuuhh :D
<3

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Sam 10 mai 2008 12 commentaires
Kya !!!!! J'adore le contexte ! Super chapitre !!!
Nenette - le 10/05/2008 à 12h22
Merci beaucoup ma belle^^ Contente que ça te plaise :D
JoY
Génial ton chapitre !!! j'ai hate d'écrire le prochain ^^ Bisouu
mai-lynn - le 10/05/2008 à 14h28
Et moi j'ai hate de le lire ^^
Bisouss
JoY
J'aime beaucoup l'histoire ! J'espère que la suite arrivera au plus vite : )) J'aime déjà beaucoup "Amaury" XD *¤* Fidlansi.
Fidlansi - le 10/05/2008 à 18h25
Le bel Amaury lool
Comme toujours, je suis ravie que ça te plaise :D
Merci pour ton avis^^
JoY
Dimitri ?! mouaiiis ça va ! c'est pas trop mal XD l'histoire me semble sympa pour ce que j'ai pu en lire ! bonne continuation à vous deux ! ^^
Ley - le 11/05/2008 à 12h35
Mercii, j'espère que la suite te plaira aussi^^
JoY
lol !!! quelle façon arbitraire de décider d'un prénom!!
rikka - le 11/05/2008 à 18h41
Lool oui c'est très arbitraire mais bon, il allait pas s'appeler l'inconnu pour toujours!!!
JoY
J'aime bien ce début. c'est surper bien décrit. J'attends de voir ce que la suite va donner. Gros bisous à toutes les deux. Je sais le com est court mais je retourne ecrire mon chapitre^^. Gros bisous Chouchou
Perri - le 12/05/2008 à 01h53
Merci Loulou.
Pas besoin de long commentaire, un court fait autant plaisir^^
J'espère que la suite te plaira :D
Gros bisous et courage pour le chapitre xD
JoY
Alors comment dire ce que j'ai ressenti en lisant ce chapitre...bon on va faire simple...j'ai ADORE x 2000!! Je suis trop contente qu'il soit pas mort Dimitri!! En plus je suis trop fan de cette fic je sais même pas pourquoi!! Alors continuez les filles vous êtes superbe!!! I love this!! Bisous
Toto - le 12/05/2008 à 12h36
Tant mieux^^
Dimitri a survécu lool, le beau Dimitri (comme dirait Vivi XD)
J'espère que la suite te plaira autant, tu as l'air de l'aimer cette histoire!! Il faut pas te décevoir lool
Bisous!
JoY
Bisouuuus ma chérie!!!!!!!!!!! Wahh je m'y mets seulement mais j'adore! Jme demande comment ca va finir cette histoire =D
Mahea - le 27/05/2008 à 19h59
Hihi on vous réserve plein de surprises lol, t'es pas prêt de deviner mouahaha
Zee t'aiiimmeuuhhh Darling ^^
JoY
j'ai laissé un simple "putain !" sur le prologue du côté de ML, là je sais pas, "putain le retour !" XD
Elle Sid - le 23/08/2008 à 22h59
Lool, c'est déjà ça! Parfois, il n'y a pas de mot XD
JoY
Mouark mouark (c'est Aby) J'ose pas enelever les infos de vivi donc je les laisse hein ^^' Alos come je viens de vous le dire il y a environ trente secondes de vive voix, j'aime beaucoup ^^ Ca me plait bien l'idée du gars qui vit dans une caravane ou il n'y a qu'un lit (niark niark) bon je vais lire la uite ^^ Arretez de rire vous me déconcentrez!!!
mai-lynn - le 07/09/2008 à 15h43
Euh Aby tu aurais pu changer le nom quand même lool
Contente que ça te plaise, et de t'avoir rencontré aussi^^ Très bons moments en ta compagnie!
Groooos bisous
JoY